Dernier soir de cette nouvelle édition d’Aucard de Tours. Dommage, mon « mode Aucard » ne s’est activé cette année que le samedi, j’aurais donc réellement vécu deux jours de festivals. La faute à quoi ? Je ne sais pas, la prog sans doute, beaucoup de rock cette année, pas trop ma tasse de thé. Mais de beaux concerts tout de même, je garderai bien en mémoire celui de Disiz et celui de Skip & Die…
Dimanche je suis donc arrivée sur les coups de 18h. En arrivant, une impression d’entendre les Wampas. Finalement pas qu’une impression puisque c’est Sugar and Tiger sur scène, alias Didier Wampas Family. 19h15, La Femme. Découverts à Bourges l’année dernière, j’aime beaucoup leur délire année -80. Pieds et torses nus, ils chantent un peu comme à la maison. Musique synthétique, à la limite du psycho, il paraît même qu’ X Ray Pop serait une de leurs influences… La faim me tenaillant un peu (la soif aussi), j’ai rejoint mes super copains sur le parking pour boire l’apéro, ben oui, « parce qu’à mille, c’est mieux » dixit Léo B., mon mentor. Un petit verre de rosé plus loin, après avoir tenté de décoller les tongs de Romain C. (mais qui vient en festival avec de la glu ? Ca sent le trafic de pass 5 jours, ça…), je me suis enfoncée sous le grand chap pour ne pas manquer Skip&Die. Claque et re-claque. Je connais la plupart de leurs chansons, mais je les avais manqués sur scène à Bourges l’année dernière. On m’en avait dit que du bien, et je n’ai pas été déçue. La chanteuse est à l’image de leur musique, barrée dans tous les sens. Des sonorités d’un peu partout, musique de l’est, électro parfois, un énorme feu d’artifice qui a parfaitement bien clôturé cette nouvelle édition d’Aucard de Tours.